Sur le sol image
Belle soie sauvage
Comme une enfant sage
Rideau de laine orage
Non plutôt un baiser sans rage
Une enfance
Sans la délivrance
Ultime comme une errance
Dans ce beau pays de France
Il s’est promené
Même juste malmené
Si ses rides l’ont abîmé
Rien n’a pu le briser
Parfois seule femme
Parfaite en bouchère
Creusant sa chair de sa lame
Alternant le feu la nuit la lumière
C’est quand il est tombé sur le bord de la route
Qu’il a vu s’approcher la déroute
Et lors il s’est dit jamais ! Coûte que coûte
Plutôt perdre son cœur
Que vivre dans la peur
Plutôt jeter les baisers au loin
Dans l’espoir qu’il y ait une fin
Heureuse quelque part pour quelqu’un
Plutôt se jeter là comme si c’était d’un train
Unital 3
Ps :
Jamais se perdre
Dans les détours et les injustices
Jamais revenir sur le vice
Comme une étoile
Un soleil
Un printemps d’avril
Une lumière qui approche encore
Je revois ton sourire toujours
Comme un ciel
Un rivage
Un soleil couchant
C’est sur tes lèvres que je prends ce refrain
Une cadence qui me brûle
Et réchauffe encore
Comme une étoile
Comme une étoile dans la nuit
Une lumière qui resplendit
Et l’ombre qui s’enfuit
Jusqu’à la fin du rêve
Je sais je sais que tu ris encore
Et que le silence s’en est ému
Que je te respire encore
Rose bleu du Nil
Une nuit de tes sourires
Que s’envolent encore une fois mes soupirs.
Pant 2005
Alle Rechte an diesem Beitrag liegen beim Autoren. Der Beitrag wurde auf e-Stories.org vom Autor eingeschickt Patrick Duquoc.
Veröffentlicht auf e-Stories.org am 11.12.2005.
Vorheriger Titel Nächster Titel
Mehr aus der Kategorie "Liebeskummer" (Gedichte in französischer Sprache)
Weitere Beiträge von Patrick Duquoc
Hat Dir dieser Beitrag gefallen?
Dann schau Dir doch mal diese Vorschläge an: