O
Ce jour-là,
j’avais pensé :
peut-être que tu es
comme l’eau ?
Clair et transparent
au fond du fond.
Et pourtant -
l’arc-en-ciel naît dans l’instant
que tu embrasses le soleil.
Les autres petits feux
tu as vite mis en sommeil.
L’illusion n’est qu’un jeu.
Inutile, vouloir t’avoir :
on t’attrape –
tu t’échappes ;
versé dans une amphore –
doucement tu t’évapores.
Si l’on veut se retrouver,
il suffit te regarder :
la surface de ton visage
renvoi toutes les images.
Je me suis arrêtée
un moment pour t’écouter.
Dans les murmures de tes courants
j’entends ces mots bien importants :
N’aie pas,
mais soi !
Bordeaux
le 30.07.2003
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Veröffentlicht auf e-Stories.org am 06.01.2009.
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