Jacques Bechdolff
Meurtre
Meurtre faisant vibrer le doyen
Ombre truculente du faible
l'arène de ce fanatique
N'est que le labyrinthe du souffre-douleur
Certes la raison du voisin
Peut- être un signal de retour affable
Le rictus moqueur est si lyrique
Il est comme l'arraignée utilisant un leurre
L'homme peut être très malin,
Mais il n'echappera pas au sort du vermiceau de la fable
La mort est si rabougri , si sadique;
Que l'orsque elle relève le coude , la lueur
D'un pieu paraissant si lointain,
Si proche pourtant perce l'oreille du faible,
Ressemblant a une loque.
Une mort cela s'écoute sans pleurs.
La vie est comme la quille bicolore, elle est en vain.
Tôt ou tard elle se retrouvent coupées en rondelles inutilisables
L'indifférence est trop forte a notre époque
Le meurtre porsuit sa route dans sa poussette humaine
Le cloître devient alors le siège de l'abondon
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Veröffentlicht auf e-Stories.org am 01.03.2008.