Elles sont toutes semblables ces femmes
Dans leur quête d’un confort bien gratuit
Elles nous aiment d’un amour qui affame
Et c’est notre argent seul qui les séduit
Les femmes sont semblables aux vampires
Et elles se repaissent de sang tout innocent
La belle vie reste le moindre de leur désir
Et elles le montrent d’un air tout indécent
Quand elles disent qu’elles vous aiment
C’est vers vos poches qu’elles louvoient
C’est là que commencent vos problèmes
Et c’est en imbéciles qu’elles vous voient
S’il vous arrive de succomber à leur amour
Elles feront de vous de vulgaires esclaves
Aussi charognards que de vilains vautours
Vos vies finissent dans de sordides caves
Les femmes sont bien pires que les bandits
Qui vous réclament la bourse ou bien la vie
Les deux choses seront leurs uniques édits
Et cela assassine en vous la moindre envie
Elles font commerce de leurs beaux corps
Et n’accordent point de place au bonheur
Au plus offrant, elles donnent leurs trésors
Et dans le dinar elles cherchent la douceur
L’amour est un sentiment qui n’a de prix
Si les femmes pouvaient bien comprendre
Riches ou pauvres nous avons bien appris
Que tout être est le produit de rêves tendres
Alle Rechte an diesem Beitrag liegen beim Autoren. Der Beitrag wurde auf e-Stories.org vom Autor eingeschickt Said Chourar.
Veröffentlicht auf e-Stories.org am 07.09.2011.
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