Meike Schrut

Le sentiment étrange d´être libre (2.)

 

Sous-titre : L'histoire de liberté est continuée, mais...
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La plaque se trouvait à peine dans mon sac de manteau, comme mon manteau commençait à brûler, je le jetais vite, dans la neige, le feu pouvait être élargi vite, cet objet brillant avait disparu, certes, mais quelque chose me saisissait et me déplaçait dans un autre monde.

D'abord je ne savais pas où je qu'était encore avec moi s'était passé. Autour de moi une petite forêt, laquelle se composait partiellement des bouleaux, arbres de sapins, marronniers, mais là je voyais aussi un palmier. Plus longtemps je regardais de manière étonnée ce palmier, plus de palmiers devenaient cela et dans la proximité de cet arbre : un lac. Ainsi l'eau limpide, comment je ne le connaissais pas, mais, pourtant, j'avais écrit de cela ?!
 

Dans le lac se trouvait un corps, le corps immobile d'une femme. Naturellement je marchais curieusement plus près, regardait dans l'eau, mais ne trouvait pas mon reflet! ?

Là s'approchaient aussi déjà des gens, en tous cas je pensais que cela devait être gens. Un homme à cela, comment je l'avais également déjà vu que je n'avais jamais rencontré dans Natura. Etait ? Est-ce que je supposais maintenant être devenu une nature d'âmes, est-ce que j'étais evtl.verbrannt à ce lieu étrange préalable ? Et est-ce que cette pièce de métal doré m'avait porté malheur ? Etait cela réel maintenant un bonheur ou malheur ? Car je ne sentais aucune douleur, éprouvais l'étonnement seulement indéfini, m'étonnais...
 

Là une autre petite âme apparaissait à côté de moi, me regardait d'haut en bas, disait, non : soufflait : "Qu'est-ce que l'auteur de l'histoire fait ici ? Encore plus de confusion et malheur apportent ?" Je cherchais des mots, disais quelque chose, ne m'entendais pas cependant même : "Pourtant, il est seulement une histoire, comment ne se passera-t-elle jamais réellement qu'est-ce que l'agitation doit ?" "Tu sais qui se passe maintenant ?" J'hochais la tête et de nouveau, quelque chose m'empaquetait justement - le grand inconnu, je l'appelais, et tout à coup, je me trouvais au début de ma propre histoire SF, seulement : je les avais écrit à l'époque sur l'anglais parce que j'aimais cette langue de quelque raison. Etait cela dans mon pouvoir à modifier le déroulement ou se répéterait tout, vraiment, doivent répéter ?
 

D'abord cependant une forme masculine sur un classeur se penchait, lisait la lettre jointe. "Tu ne comprendras jamais le vrai sens des mots.", cela je pensais et peu après, l'homme hochait la tête, déchirait la lettre, donc j'avais modifié par mes idées un peu l'autre déroulement, retentirait cela tellement ? Mais combien de temps est-ce que j'avais l'intention de jouer avec mes formes littéraires ? M'apparaîtraient-ils comme des gens, remueraient à mon coeur ou est-ce que je pensé les traiter comme des poupées auxquelles on peut arracher même les bras et les jambes aux moments curieux ?
 

Quand il parlait alors, il parlait dans la langue française, riait de ses propres mots, fermait à lui-même la bouche. Avec l'homme qui venait à lui, il faisait les petites plaisanteries quelconques que je ne pouvais pas traduire parce qu'ils allaient, pourtant, beaucoup sous la taille. Oui, j'avais eu beaucoup d'années avant aussi le plaisir des plaisanteries solides, à l'époque, quand mes cheveux commençaient à être pas encore gris, quand il y avait seulement beaucoup quelques problèmes et aucun enfant dans ma vie.

"Cependant, tu n'es pas demandé ici, mon amour, une histoire claire tente de faire de cela, peut-être, cela te réussit donc." Là il était de nouveau, l'autre petite âme laquelle se mêlait non de manière demandée.
 

"Tu n'es pas du tout encore dranne, la douceur, dans l'histoire, tu apparais seulement, quand il remarque, comment il a besoin de toi, ici tu devais disparaître et me font faire!" "Cela pourrait si te plaisent que ? Et encore quelque chose : n'appelle-moi jamais à la douceur, autrement." Enfin, j'avais quelque chose, comment je me débarrasserais du compagnon désagréable. Vos mots il ne me plaisait pas, c'est-à-dire, de façon menaçante ils sonnaient même, comment elle s'ajoutait donc. Et à ces réflexions m'échappait que l'histoire aussi se poursuivait, certes, dans le logement l'un des hommes exactement qu'autrefois dans anglais écrit, mais là il était de nouveau, cette lettre! Mais pas dans français, mais dans la langue allemande ? Et quand je me penchais invisiblement sur les côtés, il me sautait aux yeux que quelqu'un des notes en marge laissent n'avait pas voulu, un peu de nouveau, de moi! Et, par exemple, ils s'énonçaient tellement :
 

"Si on posttourne des films, devait-on réfléchir, pourtant, un peu plus que les frais se tiennent dans le cadre de et n'est cela pas absurde de répéter très exactement l'action ?" Je n'avais encore jamais réfléchi sur des films en particulier, me sentait plutôt comme un cameraman qui a à côté de lui-même aux scénaristes et le metteur en scène. Le travail de caméra, la chose la plus importante me semblait, et parce que mon oeil fonctionnait comme une caméra, je voyais beaucoup de caméras invisibles, justement l'histoire abfilmten, non de manière coupée! Et le chaos lequel doit naître, si on ne peut donner l'acteur déconcentré aucune instruction exacte ou veut, fait s'imaginer!

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Veröffentlicht auf e-Stories.org am 09.09.2010.

 
 

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