H. Lee Dolan

Bete terrifiante

 

    Bete terrifiante


Vous existez

Enfin un vient sur votre presence

comme un reve etrange

Ce peut etre un fantome, qui sait ?

Je ne veux pas me faire connaitre a cet homme

Il est trop libre, trop facile

Il s'enfoncera sous ma peau

Peut-etre il me frappera comme le fait un ours

Peut-etre ne le savez pas encore mais vous

existez

Vous arretez le souffle et arrangez les

sentiments en tant que crafter des choses

Regards a passer encore entre nous et un desir

ardent qui ne peut pas etre nie pour quelque

chose qui est vraie
 
La vie

Elle est en effet vraie

C'est beaute, a trouve dans mille choses

vous ne possedez personne

et n'avez aucun desir a posseder mais rapidement

Il commence different qu'imagine tombant dans le

fleuve

vous derivez vous ecoutez le bruit que seulement

nous pouvons entendre seulement nous

nous rendons compte de lui

ce desir ardent terrible

c'est bete terrifiante

enorme un cri ardent dans la region sauvage

Je ne peux pas etre possede ainsi

Vous me donnez a vos amis

Je suis partage librement et ils rappelez-vous

qu'ils sont encore vivants

Les masses chaudes de soulevement de l'humanite

visages enterres sous

mes seins les larmes de infiltration

Je n'ai pas parle de ces choses mais maintenu

leur jusqu'a elles seul etaient

les miennes j'ai oublie la vie avant

et ai vecu pour elles seulement

ces moments je ne me suis pas rappele des mots,

mais des bruits sentiments qui n'avaient pas

existe avant et n'existeraient pas encore

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quand il l'a trouvee

il etait comme un cadeau

lui et ses camarades avaient ete a lui beaucoup

de jours

Ensemble ils ont celebre leur bonne chance qu'ils

ont parlee fort et ont bu mais elle n'a pas

compris

Leur chef etait le premier pour la toucher il

etait comme demi du puer animal

de chose les

fourrures mais epluchant

au loin les couches elle a trouve que l'homme

dessous il etait chaud luisant avec la sueur il a

devore ses seins a bu dans ses yeux

lui a chante a plusieurs reprises

parfois il a pleure

Elle a pris ses amis aussi bien ils aucun trop

soigneux avec sa chair tout differente

Certains d'entre eux tirant sur ses mamelons et

lechant avec effort son estomac

Certains d'entre eux poussant une main maladroite

entre ses jambes,

prising ses fesses a part

Et passant dehors.

Elle pousserait qu'un au loin de elle

et un de ses amis viendraient prendre

sournoisement a sien le tour dernier etait tres

habile elle a pleure dehors beaucoup de beaucoup

de fois

mais il l'a priee veuillez etre tranquillite,

le chef est fou, il me tuera

dispersez mes organes

il a ri avec une ferveur etrange

il s'est enterre entre ses cuisses goutant son

monticule que la douceur etait insupportable

il a disperse sa graine a travers elle

avec un cri terrifiant

qu'elle s'est deplace lentement 

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Veröffentlicht auf e-Stories.org am 30.12.2009.

 
 

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