Patrice Faubert
Paraphysique de vulgate abstonyme
8 mai 1842, Meudon
Ligne Paris-Versailles, et des gnons
Premier accident ferroviaire
Et cinquante-cinq mortes et morts pour le chemin de fer
Mais c'est, paraît-il, la rançon du progrès
Alors pertes et profits, l'on se tait
Avec toute une accidentologie
Comme à l'armée
Pourcentage de perte, du prévu, de l'assumé
Du travail et de toute nouvelle technologie
Tout y est du pilote d'essai
Mais nouveaux habits, nouveaux frais
Cosmonautes, astronautes
Aquanautes, spationautes
Mais
C'est toujours du pilote d'essai
Donc, bien payé, car très risqué, on le sait
Cela dit, pour n'importe quel boulot
L'on peut aussi y laisser sa peau
Maladies diverses, c'est pas non plus, du rigolo
Avec de véritables engrenages infernaux
Et qui sont comme de véritables étaux
Pour s'en défaire, faut faire dans le salaud
Du conjugal
Du sexe ou de l'amical
Du travail ou du social !
De tout un panpsychisme
Toutes situations du psychologisme
Nous y sommes toutes et tous coincés
Toutes et tous
Nous y sommes, comme à résidence, assignés
L'on ne peut y gruger
Une prison
Dont personne, vraiment, ne peut s'échapper
Comme une niche environnementale
Qui tôt ou tard sera notre fortin fatal
Car face à tout conditionnement
Conscient, surtout, inconscient
Chaque être humain est le dénuement
De tout un décalage en dénouement
Ou tout est de l'ignition
Vieillir d'inhibition de l'action
Partout, nos squelettes en attraction
Comme dans la pièce radiophonique
1978, " Les Tréteaux de la nuit ", en mode ironisant
" Les yeux perçants "
Tout est toujours en décalage
Du rendez-vous manqué comme de l'âge
Du cela aurait pu se faire
Mais hier
Et le présent y faisant un blocage
Rencontres, relations, travail, du conjugal
De toutes les vies et selon les âges
Et l'on ne peut revenir en arrière, selon l'adage
Ou alors par l'imaginaire en fureur des ratages !
C'est un peu comme la plongée
Cent mètres de profondeur
Pour au moins, de remontée, quatre heures
Vivre, survivre, sous-vivre
Il y faut, de toutes façons, des vivres
Quand tout doit chèrement se payer
Même du côté du manche
Quand, jadis, les têtes, l'on tranche
Ainsi, feu ( 1863 - 1939 ) Anatole Deibler
Le bourreau avec presque quatre-cents têtes coupées
Ce en 50 ans, il fut très bien rémunéré
Du franc-or, 10.000 euros par mois
Avec divers avantages variés
Aux mains de l'Etat
Donner la mort est un droit
Aux mains de l'individu
Donner la mort est un crime
Quand tout gouvernement
N'est que l'intérêt des dominantes et des dominants
N'est que l'intérêt des puissantes et des puissants
Et selon, de l'Histoire, et ses moments
Selon les multinationales et les milliardaires
Qui polluent le tout naissant, des sicaires
Ainsi des pneumatiques, du poudré antidérapant
6PDD, sur la route, des frottements
Substances chimiques très toxiques
Se retrouvant dans les rivières !
Pas seulement pour les saumons
Mais pour tout le vivant et selon
Interviouve antonyme mais sans anonyme
Pneus particules chimiques, avec, sans, antonyme
L'argent étant la pire des pollutions
Son entregent étant sans aucune solution
Car plus encore que l'altruisme ou le sentiment
Même si cela, parfois, permet
Avec l'alibi d'une notion d'épanouissement
Ainsi du bas nylon et ( 1960 ) de son remplacement
Gain de confort féminin, DIM, pour le collant
L'esthétique au feu, mais avec de l'investissement
Au-delà du bien, du mal, tout étant de l'argent
De toute une compilation de l'acidifiant
Des batteries des voitures électriques, de l'incluant
France, nickel, manganèse, cobalt
Chine, lithium, fer, phosphate
Ou plus tard en Espagne, pollution échec et mat
Pour 700 km d'autonomie ou plus
Mais métaux rares et donc du faux bonus
De tout un prestataire pléthorique
De toutes façons, rien ne peut-être écologique
Dans une société au tout ou presque, technologique
Où tout se préempte dans le plus ou le moins
Certes, les riches y ont le plus grand grappin
Mais hélas vulgate au très malin
Polluant la dépollution et avec ou sans frein !
Patrice Faubert ( 2025 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ )
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Veröffentlicht auf e-Stories.org am 01.06.2025.