Son décolleté était plongeant
Devinant deux beaux seins
Aussi pleins que charmants
J'étais encore enfant, vilain garnement
A l'affût des formes féminines
Et de toutes leurs mines
C'était en Suisse, d'expression française
Elle était blonde et ressemblait à Gervaise
C'était une colonie de vacances
Pour freluquets en pleine mouvance
Et comme j'étais petit
Pour mon âge
Elle crut bien sage
De me laver, sans parcimonie
Et c'est alors
Que mon vit
Grandit, grandit
Et ce sans aucun effort
Et comme une fée dévouée
De ses mains, elle offrit à mon trésor
De son tourment, de le délivrer
Tout en se penchant
Comme une coquine forcenée
Et ainsi me dévoilant
Deux pointes marrons, bien entêtées
Ce fut une toilette
Délicieusement fignolée
Tout mon corps fut en fête
Et je pus prendre congé, enfin apaisé
Sublimés sont les souvenirs
Qui jamais, ne vont aux oubliettes
Et nous sustentent d'agréables soupirs
Et toujours des seins qui allaitent
Patrice Faubert (1973) pouète, peuète, puète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
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Veröffentlicht auf e-Stories.org am 09.01.2016.
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