C’est ce jour même,
Au fond du jardin en matinée,
Que j’ai écouté parler les cloches,
Me dire des paroles
D’un autre temps, et des graines
Qu’on jeta comme des dés
Au hasard de mes proches,
En riant d’être si drôles.
Lire d’un regard d’une geste,
Calculé au trait d’une main.
Fugitive, perçant de haine,
Pour ne dire que de rien.
De tous que je déteste
Et qu’il n’y a pas de fin
A l’aboutissement des peines
Qu’ont étourdi les miens.
Les cris se sont vagués,
Dans l’outre raison
Pour tracer leur territoire
Et de ne plus savoir rire.
Se sentir traqués
Comme des moutons,
Au chemin de l’abattoir,
Pleurant de ne pouvoir rien dire.
Alle Rechte an diesem Beitrag liegen beim Autoren. Der Beitrag wurde auf e-Stories.org vom Autor eingeschickt Bertus-Adriaen van den Heuvel.
Veröffentlicht auf e-Stories.org am 19.11.2012.
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