Ça caresse dans un sens, ce souvenir désormais dans le vent
Sur les feuilles, les nuages ont déposés leurs messages
Que je n’ai pas lu, et je n’ai pas su que je vivais d’autres temps
Sur un air nostalgique apparaît, fuyant, la complainte des rivages
Un oiseau tombant du ciel, comme une ligne effacée
D’une vie sans destin, l’aile cassée du savoir
Que je n’ai pas eu, que je n’ai pas vu sur la colline oubliée
Donnant sur l’horizon fait d’étoiles
Je reviens mais tu n’es plus
Oh ! La douleur de ce temps qui jamais ne s’arrête
Quand nos jambes d’émotion ne tiennent plus
Les instants se dérobent, handicapent la mémoire
Tout au long de ton pelage de poussière
Glissent mes yeux en comptant les moments
En disant les promesses des amours éphémères
Qu’ont croyait la raison de rêver pour longtemps
Mes petits pieds sur ton dos, le monde était si grand
Mes blessures dans ta peau, la vie changeait de jeu sans pitié
Et des larmes trop avides, survint un esprit redoutant
Qu’un jour, tous ces rires, ne s’effacent comme la colline oubliée.
Alle Rechte an diesem Beitrag liegen beim Autoren. Der Beitrag wurde auf e-Stories.org vom Autor eingeschickt Nadège Ango-Obiang.
Veröffentlicht auf e-Stories.org am 29.04.2011.
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